Quel plaisir de retomber sur cet extrait. Mais il n’y a pas que les turques pour exceller dans la cuisine cinématographique au navet. Il suffit, pour le constater, d’aller sur :
En regardant cet extrait, je me dis que le cinéma indien a fait de grands progrès en 25 ans. A voir jusqu’au bout, c’est du bidon bidouillé, un bide bidonnamment bidonnant.
Les pays riches, y compris les américains, nous cuisinent parfois de vrais navets cinématographiques. Ils ne sont pas les seuls capables de sortir de très bons films.
Nous sommes tellement conditionnés à regarder des films occidentaux que nous oublions d’ouvrir les yeux vers d’ autres horizons.
Les indiens, premiers producteurs mondiaux avec 1000 films par an, réussissent pourtant des merveilles :
Je conseille bien sûr l’incontournable « Coup de foudre à Bollywood », pour un dépaysement total en présence de l’actrice et ex miss monde Aishwarya Raï qui, comme toujours, illumine l’écran.
On peut la retrouver dans « Jodhaa Akbar », fresque historique grandiose, qui ne doit pas rougir face aux meilleurs péplums américains.
On peut aussi la retrouver dans la version la plus récente de « Devdas », avec l’acteur fétiche bollywoodien Sharukh Khan, pour une histoire d’amour impossible, une sorte de Roméo et Juliette à la sauce indienne bien épicée. Ce film a eu le privilège d’être sélectionné au festival de Cannes en 2002.
Pour retrouver Sharukh Khan, je conseille l’un des plus grands succès du cinéma indien, « Om Shanti Om », en présence cette fois d’une autre icône montante du cinéma indien, Deepika Padukone qui, comme Aishwarya Raï, associe la beauté, la plastique, la grâce, le jeu et la danse d’une manière si rare qu’il est quasi impossible de retrouver les mêmes critères associés au niveau du cinéma mondial.
Et pourquoi ne pas regarder d’autres films comme « Billu », histoire d’un barbier revoyant un ami d’enfance devenu star de cinéma en la personne de Sharukh Khan dans son propre rôle.
Je conseille de regarder ces films en VO sous titrée, histoire de mieux conserver la magie originelle. Le doublage en français de « Jodhaa Akbar » est toutefois bien réussi.
Voici un tout petit aperçu de certains de ces films. J’ai conscience que c’est un sacrilège car seulement de qualité YouTube mais c’est ça ou rien :
Si on peut être amené à penser que pour déchiffrer la plupart des notices d’appareils modernes il faut sortir de Centrale, certains acheteurs, pouvant être tentés de trucider quelqu’un, risque d’y rentrer (… en Centrale Pénitancière s’entend !)
Moralité : chers concepteurs : même si c’est beaucoup demandé à certains d’entre vous (trop enfermés dans un comportement autistique, c’est évident), mettez-vous, que diable, un instant à la place du quidam qui ne vit pas avec vos conceptions trop complexes, vos sigles, vos termes à la « mords-moi le noeud », vos phrases longues et alambiquées. En plus, ça ferait vendre plus aisément. C’est possible puisque certaines notices sont très bien faites !
Ah ! Ça fait du bien.
P.S. : au fait : avez-vous compris bande de choux farcis à la cervelle de geek ?
Dans une caserne de Gendarmerie, le Capitaine croise un jeune élève-gendarme fraîchement débarqué de l’école de Gendarmerie. - Comment vous appelez-vous, mon garçon ? - Yves, et vous ?
Le Capitaine furieux s’écrie : - Mon petit bonhomme, je ne sais pas d’où vous arrivez, mais sachez que je suis le Capitaine et que je m’appelle « MON CAPITAINE ». En plus il faut savoir que, dans ma compagnie, j’appelle les gens par leur nom de famille. Si vous vous appelez Yves Tartempion, je vous appellerai Tartempion, mais pas Yves. Z’avez compris ? - Oui, MON CAPITAINE ! - Alors, mon p’tit, c’est quoi votre nom de famille ? - Montcherry, MON CAPITAINE ! - Très bien Yves, rompez, au travail !
On nous dit que Frédéric Mitterrand a été hospitalisé début janvier pour une fracture d’épaule, mais n’a-t-il pas subi une autre opération ? Oh, ma mère ! (On nous cache tout, on nous dit rien…)